
Nouvelle biographie : Dora Ostrowicz
Découvrez la biographie de Dora Ostrowicz, arrêtée, début août 1942 entre Dax et Orthez, et déportée sans retour du camp de Pithiviers à Auschwitz le 21 septembre, à quelques jours de son 18e anniversaire…
Découvrez la biographie de Dora Ostrowicz, arrêtée, début août 1942 entre Dax et Orthez, et déportée sans retour du camp de Pithiviers à Auschwitz le 21 septembre, à quelques jours de son 18e anniversaire…
En septembre 1939, « l’Asile Israélite » d’Hégenheim (Bas-Rhin) se replie à Dax et trouve refuge à la maison de retraite du Lanot à Dax. Une quinzaine de personnes âgées, ainsi que M. Klein, le directeur, et sa famille, vont traverser tant bien que mal les 5 années d’Occupation, sans être arrêtés (à une exception près) ni déportées. Ils ne pourront réintégrer Hégenheim qu’en juillet 1946. Eric Lafourcade avait fait d’importantes recherches,…
Les mouvements de la Collaboration ne rencontrèrent jamais un grand succès dans notre département, mais certains de leurs membres profitèrent cependant de la dérive ultra-collaborationniste de l’année 1944 pour laisser libre cours à leurs plus sombres penchants. Cette biographie, qui doit beaucoup aux travaux de Grégory Bouysse, s’intéresse au parcours de Marcel Lerède, qui arrive dans les Landes en mai 1944 en tant que délégué départemental de la Milice française,…
Jeanne Peyrebère, dite « la marquise de Guilloutet », est un personnage dont le parcours est original. Châtelaine de Lubbon, elle s’installe, suite au décès de son époux, en Allemagne, puis en Autriche dans les Années 30. Revenue par force dans les Landes en 1940, elle utilise ses relations et sa maîtrise de la langue allemande pour louvoyer entre préfecture et kommandantur, dans un but essentiellement humanitaire, venant en aide aux nombreuses…
Le capitaine Anthony Mellows, appartenant aux services secrets britanniques, fut parachuté dans le Gers en août 1944 afin de coordonner l’action des différents groupes de la Résistance de la région à l’approche de la Libération (Opération Jedburgh). Il trouve la mort lors des combats du Pont de Bats le 21 août 1944 en défendant Mont-de-Marsan contre une colonne allemande.
Gabriel Cantal anime le groupe de résistance de Gabarret pendant la guerre, assurant en particulier la réception de parachutages dans le nord-est des Landes dès la fine de 1943. Arrêté lors de la grande rafle du 21 avril 1944, il est déporté à Neuengamme. Il survivra, mais reviendra très affaibli, s’engageant dans la défense des déportés dans un certain nombre d’organismes et d’associations.
Le colonel Jean de Milleret, alias Carnot, est l’une des principales figures de la Résistance dans le Sud-Ouest. Militaire de carrière, il est blessé au cours des combats du Pont de Bats et est l’un des principaux artisans de la libération de la Pointe de Grave.
Bernard Hejblum a vécu la Seconde Guerre mondiale comme une expérience particulièrement traumatisante. Enfant caché par la famille Lamaignère à Hagetmau, il a tenté après la Libération de se reconstruire grâce à l’Art et la littérature.
M. Lapeyre et ses deux filles, épiciers à Saint-Sever, ont hébergé Odette et Roland Hafon pendant la guerre, à quelques dizaines de mètres de la kommandantur…
L’histoire de la famille Kaluski illustre à nouveau les multiples pérégrinations de nombreuses familles juives pendant la Seconde Guerre mondiale. Une errance faite de fuites, de craintes des contrôles, des arrestations, des rafles, des dénonciations, atténuées parfois par des hommes et des femmes de bonne volonté qui, au péril de leurs vies, sont venus en aide à ces familles, à ces enfants : les « Justes ». De nombreux documents nous ont…
Nous poursuivons notre série sur les « Justes » des Landes, avec la famille Gerbaez, venue du Nord, qui a trouvé refuge dans la région de Vielle-Tursan/Saint-Loubouer pendant toute la durée de la guerre.
Les quatre membres de la famille Oehlgisser ont été cachés à Saint-Aubin et ont survécu en bénéficiant d’une véritable chaîne de solidarité, d’abord leurs voisins landais de Paris, puis les cousins de ces derniers à Saint-Aubin, l’institutrice et le postier de ce même village, et enfin les Soeurs de St-Vincent-de-Paul de l’Hôpital Lesbazeilles de Mont-de-Marsan.
La famille Soubeste de Beyries est l’une parmi la dizaine de familles qui ont aidé, hébergé, caché des Juifs persécutés pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils ont été reconnus par l’Institut Yad Vashem « Justes parmi les Nations » pour être venus en aide à la famille Cohen, Henriette et ses deux petites filles.
Le docteur Gronich et sa famille viennent s’installer à Tarnos en 1930. Ils obtiennent la nationalité française en 1933, mais une procédure de retrait est entamée par la préfecture en 1941 en raison de leur judéité et de leurs sympathies communistes. Face à la montée des menaces, la famille fuit en Zone non occupée et survit.
Marc Cazaux témoigne de son parcours de résistant, depuis les bancs du lycée Victor Duruy jusqu’au Tyrol. Retrouvez son témoignage en vidéo sur la chaine du C.P.R.D.
La famille Sigman quitte Vienne au moment de l’Anschluss, se réfugie en Belgique, puis en France au moment de l’exode. Elle s’installe à Mimizan-Plage. Toni, 18 ans, incarcérée à Mont-de-Marsan pour défaut de port de l’étoile jaune, est déportée dès juillet 1942. Ses parents sont quant à eux raflés en octobre et déportés à leur tour sans retour.